Il était une fois Vazlin ; Fille de Josette Trouai et Manuel Abill , Vazlin vit le jour le 1er novamaire de la fin des années 80 en pleine fete du slip du captain chafer. L’ambiance hyper- festive entourant sa venue au monde aura probablement influencée son tempérament et ses gouts musicaux pour Carlosse et Qwetch Rassis.
Réservée au premiers abords mais pas insensible, elle eut une enfance sans histoire. On dénotera tout de même une affection toute particulière pour les travaux manuels dès son plus jeune âge, intérêt éveillé par ses parents. En grandissant, cette passion s’intensifie et la curiosité s’en méle : Vazlin touche à tout, ses prédispositions génétiques l'aident et l’entrainent dans toutes les branches de l’artisanat. Elle chasse, rassemble, cultive, collectionne, un nombre incalculable d’objet hétéroclite tout ce qu’elle parvient a glisser dans son Havre sac, sous le motif du :« ça peut toujours servir, on verra plus tard ».
« Plus tard », c’est sans doute là son principal défaut. Loin d’elle l’idée de procrastiner, Vazlin vit dans l’action, trop parfois, qu’elle en oublie le temps. Des idées, il y en a tant ; on y plonge, s’y perd, s’y étourdit. Et le « plus tard » devient « trop tard » !
Désormais, c’est cet aspect qui l’anime: On ne rattrape pas le temps perdu, mais on ne le gaspille plus. Vivre une vie d’aventures au jour le jour; Se laisser mener par le vent et surtout là où ses amis l’amènent. Passer du bon temps et le prendre ce temps, c’est devenu sa pri